Ecrit pendant le premier confinement imposé par la Covid 19, cet ouvrage est un recueil de souvenirs er de préoccupations racontés sur le ton de la confidence.
 
La première partie nous propose les confessions d’un vieux psychiatre qui a pratiqué son métier à Alger pendant plus d’un demi-siècle.
 
La seconde aborde les rapports de la spécialité au politique et au social ; elle revient ainsi sur les expertises de l’assassin du président Mohamed Boudiaf et de celles des otages américains de Téhéran en 1980. Elle se termine part les évènements ayant donné naissance à la psychiatrie algérienne, en abordant la contribution de deux figures emblématiques : Frantz Fanon et Khaled Benmiloud.
 
Sur fond d’un humanisme bien rare, l’ensemble bouleverse l’idée que l’on se fait du métier de psychiatre.