"Je prends le départ avec une impression particulière. Une vague sensation d'être mal dans ma peau, sans raison précise. Un mal être. Un mal vivre. Quelque chose d'incompréhensible. Un sentiment de solitude, d'abandon et d'exil qui se transforme au cours du voyage en quelque chose de plus net et de plus précis, comme un mal-être localisé dans mon histoire".
 
Une histoire qui réduit "l'indigène " à un simple besoin de boire et de manger, pour ne pas mourir. Un assujettissement qui l'entraîne dans des chimères fantasmagoriques post-coloniales qu'un responsable restitue dans l'aveuglement "djouae kelbak itebaak".
 
« (...) l'auteur aura aussi judicieusement greffé la grande épreuve de la résistance nationale à l'entreprise coloniale génocidaire dont il émaillera ses récits doublement inscrits dans le temps historique et gravés dans l'espace mémoriel et mémorial.» Mohamed Lakhdar MAOUGAL